Bonjour. Je ne vous connais pas. Depuis je ne sais quand, je lis vos poèmes. Il se trouve que je les aime. J’ignore si vous avez déjà publié des livres de poésie. Sinon, il me semble que vous devriez songer à le faire. Un éditeur devrait à mon avis se montrer ouvert à vos écrits. Je vous souhaite un bel été. Je vous souhaite de le passer dans « la maison dans l’eau ».
Cher Daniel,
Je n’ai jusqu’à ce jour jamais cherché à publier ma poésie. Je fais perdurer cette tradition du 19e siècle du poète qui publie a compte d’auteur ! Je pourrais vous dire aussi que mon projet d’écriture poétique s’inscrit sur la longueur du temps. De mon temps
Vos mots me touchent, quoiqu’il en soit. Parce qu’il m’arrive de ne pas savoir si tout cela a un sens. Cette nécessité de dire.
Alors merci. Prenez soin de vous.
Je me reconnais dans ce texte, que je vais ajouter à mon anthologie personnelle (je vous enverrai le lien) et qui participe selon moi, à cette sorte d’autoportrait kaléidoscopique (définit ci-dessous)
UN AUTOPORTRAIT KALÉIDOSCOPIQUE J’ai écrit par petites touches une sorte d’autoportrait kaléidoscopique marqué par la fragmentation et l’inachèvement dans une certaine continuité…
Je suis curieuse de découvrir ce kaléidoscope. Probablement, que je me reconnaîtrai dans certains de ses fragments.
Merci d’être passé par ici, Jean-Jacques.
Une maison qui semble fragile, mais qui ne l’est pas, peut-être. Ou qui l’est et s’en moque.
On ne sait rien de ce que l’on écrit !
On sait de ce qu’on lit, souvent.
Je t’envoie mon amitié, chère Caroline.
Carnets. Gabrielle Segal 
Bonjour. Je ne vous connais pas. Depuis je ne sais quand, je lis vos poèmes. Il se trouve que je les aime. J’ignore si vous avez déjà publié des livres de poésie. Sinon, il me semble que vous devriez songer à le faire. Un éditeur devrait à mon avis se montrer ouvert à vos écrits. Je vous souhaite un bel été. Je vous souhaite de le passer dans « la maison dans l’eau ».
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Cher Daniel,
Je n’ai jusqu’à ce jour jamais cherché à publier ma poésie. Je fais perdurer cette tradition du 19e siècle du poète qui publie a compte d’auteur ! Je pourrais vous dire aussi que mon projet d’écriture poétique s’inscrit sur la longueur du temps. De mon temps
Vos mots me touchent, quoiqu’il en soit. Parce qu’il m’arrive de ne pas savoir si tout cela a un sens. Cette nécessité de dire.
Alors merci. Prenez soin de vous.
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💙
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Je me reconnais dans ce texte, que je vais ajouter à mon anthologie personnelle (je vous enverrai le lien) et qui participe selon moi, à cette sorte d’autoportrait kaléidoscopique (définit ci-dessous)
UN AUTOPORTRAIT KALÉIDOSCOPIQUE J’ai écrit par petites touches une sorte d’autoportrait kaléidoscopique marqué par la fragmentation et l’inachèvement dans une certaine continuité…
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Je suis curieuse de découvrir ce kaléidoscope. Probablement, que je me reconnaîtrai dans certains de ses fragments.
Merci d’être passé par ici, Jean-Jacques.
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Magnifique poème qui me touche particulièrement. Certaines images sont d’une fulgurance apte à éclairer nos nuits. Merci Gabrielle ! Alain Bibliofeel
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Je suis touchée a mon tour.
Merci Alain.
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Beau, émouvant. La Poésie vivante et active
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C’est plus tard que la poésie prend ses quartiers de vacance…
Merci, Joël, pour votre venue ici.
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Et de ta poésie, une maison dans l’eau.
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Une maison qui semble fragile, mais qui ne l’est pas, peut-être. Ou qui l’est et s’en moque.
On ne sait rien de ce que l’on écrit !
On sait de ce qu’on lit, souvent.
Je t’envoie mon amitié, chère Caroline.
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Et je t’envoie la mienne, chère Gabrielle.
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