
un fleuve il faut le prendre avant la profondeur là où pas une étrave ne vient blesser son eau où l’eau se pense seule faiseuse de courants où l’impression céleste sur sa surface lisse lui fait croire à l’abysse et cela lui suffit cela suffit toujours sentir que ça va tout en ne bougeant pas sentir que ça va bien quelque part Photo Gabrielle Segal "L'oiseau", Nantes, 24 décembre 2022, 16h26. ©Gabrielle Segal
Une poésie que je ressens comme un moment de comtemplation et de paix. Très jolie! Bonne semaine!
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Merci d’avoir pris le temps de vous attarder ici.
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L’eau et l’oiseau. Deux thèmes qui me parlent et peut-être ne font qu’un.
Chouette texte.
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Peut-être bien qu’ils ne font qu’un. En tout cas l’idée est plaisante.
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