le temps qui reste est enfin le temps qui va rester regarde la lumière dans la pièce naissant des courbes et des creux la peau de la saison recouverte de bleu Klein entends les mots que vous vous dites insonores et liquides lents étreins Les peurs devenues aussi chaudes que le pelage de la féline et qui se laissent tomber à sa façon dolente contre le ventre de l’aimée ne compte plus c’est enfin là de vivre cette jeunesse autrement que jeunes
Beau, sensuel et émouvant. J’aime bien la touche finale. La jeunesse est éternelle. Son temps est le présent.
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Merci Alan, une fois encore de passer par ici et de prendre le temps de partager votre pensée.
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