
il faut y être quand l’arbre de l’île donne ses fruits nager jusqu’à elle courir jusqu’à lui par les lèvres entrouvertes s’abreuver des chants de la Poétesse regarder sans tristesse les fruits délaissés qui jonchent le sol leur eau couronne l’île leur sucre forcit l’arbre Flor Garduño, "Con corona", 2000, © Flor Garduño.
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Merci, Sylvie.
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Je viens de lire « Par les yeux de l’île » et voulais commenter ces poèmes. Mais la page où rédiger un commentaire est introuvable. Je viens donc ici dire que j’aime beaucoup ces poèmes.
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Cher Daniel,
J’ai publié ce texte par erreur. Pas encore achevé.
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