
tu parlais durant l’ancien sommeil tu disais des absurdités des absurdités tu ne dors plus de lui pas encore de l’autre déjà ça ne fait plus aucun bruit ça ne raidit plus ta colonne tu te demandes depuis quand c’était la guerre depuis quand j’étais braquée il te tarde le chien de fusil sur les draps du vrai sommeil Alison Watt, "Source III", 1995, huile sur toile. © Alison Watt
De ces moments, où mon coeur accélère.
J’aimeAimé par 2 personnes
De cette douce accélération, j’espère. Celle qui ne nous veut pas de mal.
Je vous embrasse, ma chère amie.
J’aimeAimé par 1 personne
Celle-là, bien sûr.
Je vous embrasse aussi, très chère Gabrielle.
J’aimeAimé par 2 personnes
Une situation vécue par beaucoup. Un poème universel…
J’aimeAimé par 1 personne
Merci, Joël. Écrivant, on ne fait que dire ce qui se sait déjà, mais qui parfois reste tu.
Je vous souhaite une bonne journée, au frais.
( votre message était dans les indésirables ! )
J’aimeJ’aime