
la fontaine du vieux village absent Le doux chant de son écoulement le léger goût d’encre noire de son eau ce léger goût de sang persistant sur la langue des poètes allées s’y mouiller les lèvres ©Nena Saguil, "Untitled", 1967, huile sur toile. Collection particulière.
Tant de choses évoquées en si peu de mots…
Beau.
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Merci, Almanito.
Je vous envoie mes amitiés.
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Chère Gabrielle, j’espère toujours qu’au détours de nos allées, la vraie rencontre soit l’inéluctable présence. Merci Gabrielle pour vos écrits noués de sensibilité, libérés peut-être par une sensible quête… ?
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Oui, l’inéluctable présence, ça serait là la vraie rencontre, vous avez raison. Ma quête, quant à elle, est, je le crains, de l’ordre de celles du chevalier à la triste figure !
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Triste figure,
Celles des assoiffés,
Le chevalier mord à la poussière,
Mais ne déclare pas forfait !
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Jamais !
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Sentir l’absence, c’est l’espoir qui s’y glisse comme l’inéluctable nostalgie.
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Vous avez vu l’absence qui n’était pas écrite. Oui elle est bien là. Ainsi que son inéluctable nostalgie.
Merci, Béatrice de votre venue ici.
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💙💙💙
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