Bonjour Gabrielle
Vous êtes passé dans les images de ma dernière publication. Je vous en remercie infiniment. Votre présence m’est chère, elle diffuse en moi plaisir subtil…et vos textes possèdent une énergie, entre célébration de souffrance qui n’appartient qu’à vous. Merci.
Merci beaucoup Jean. Je ne vous perd pas de vue, mais parfois je prends le temps de lire plusieurs textes d’un seul ou d’une seule poète en même temps. Ainsi, j’entre dans son univers.
Pour tout dire, je suis en train de le lire en même temps que des poèmes…et je suis in croyablemt touché par sa détermination à vivre libre
Liberté qui s’est achevée par un accident de voiture. Elle avait 32 ans.
Quelle puissance dans ce texte, magnifique !
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Merci beaucoup, Isabelle. Votre avis me touche.
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sur la beauté défaite poussent des chevaux de chagrin….
ravie l’arme blanche regagne en chantant son fourreau d’ennui…
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Je ne peux que me taire devant ces vers.
Merci de ce présent, Barbara.
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Mais non.
C’est moi qui vous remercie Gabrielle.
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quoiqu’il en soit, je trouve ici une belle communauté de plumes, qui m’éclaire chaque jour et augmente mon envergure.
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Superbe
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Merci beaucoup, Marina.
J’espère que ton projet d’écriture avance comme tu le veux.
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Oui très bien ! Merci, je n’ai pas eu beaucoup de temps pour venir te lire, mais je me rattrape !
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Pas de problème. Ce qui compte c’est que tu sois sur la bonne voie.
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Bonjour Gabrielle
Vous êtes passé dans les images de ma dernière publication. Je vous en remercie infiniment. Votre présence m’est chère, elle diffuse en moi plaisir subtil…et vos textes possèdent une énergie, entre célébration de souffrance qui n’appartient qu’à vous. Merci.
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Merci beaucoup Jean. Je ne vous perd pas de vue, mais parfois je prends le temps de lire plusieurs textes d’un seul ou d’une seule poète en même temps. Ainsi, j’entre dans son univers.
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Je procède un peu dans ligne aussi. Connaissez-vous Forough Farrokhzad? Une femme poète iraniène. Magnifique.
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Non, je ne la connais pas du tout. Mais grâce à vous je vais la découvrir. Merci beaucoup, Jean.
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Un roman biographique excellent donne la mesure de sa vie hors norme: l’oiseau Captif de Jasmin Darzink. Le titre original est: Song of a captiv bird.
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Merci pour toutes ces richesses. Nous en reparlerons.
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Pour tout dire, je suis en train de le lire en même temps que des poèmes…et je suis in croyablemt touché par sa détermination à vivre libre
Liberté qui s’est achevée par un accident de voiture. Elle avait 32 ans.
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Pourquoi faut-il toujours que les vies éclairées finissent souvent ainsi !
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Pour ma part, je ne peux que répondre par un sentiment tragique pénétré d’amour et le garder comme un feu secret en mémoire de ce fut.
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Belle réponse au malheur.
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Il reste de l’insaisissable, une beauté qui se tient ferme et se cabre. Vous parlez pour elle. Merci
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Comme vous avez raison. Ce que l’on perd, c’est bien ainsi que ça se transforme.
Merci Alexandre.
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