
Un astre se souvient encore sans amertume de l’escale passagère de ces enfants aériens conviés à la vie sous un ciel d’étoiles posthumes
Sans livre de bord combien le front haut cabré et criblé de lunes furent blessés d’être devenus des hommes
Et épuisèrent leur souffle à ras de de sable sur les roseaux courts de leur vie qui ne leur rendit rien de l’énigme première ?
Crédit Photo ©Julie
Sans livre de bord…soyons heureuses d’être femmes…
Merci Gabrielle…
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Oui soyons heureuses d’être et de le savoir et d’avoir entre nos mains ce grand livre restant à écrire.
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