Chant XVIII la première regarda ses mains ses mains se détachèrent d'elle tant pis elle regarda d'elle tout ce que sa souplesse et ses yeux lui donnaient à voir chaque partie de son corps qu'elle regardait se détachait d'elle et se dispersant aux cardinaux allait servir à d'autres oui allait servir à d'autres la première entendait les débris de son être chuter oui ils chutaient longuement dans un conduit de paroles barbares avant d'être happés mais elle ne cessa pas de se regarder jusqu'à ce que sa souplesse et ses yeux n'aient plus rien à lui donner à voir aussi elle regarda sa tête dans un reflet quelconque mais sa tête ne se détacha pas d'elle ©Encre sur papier de Corinne Freygefond. Sans titre #17, 2020. PublicitéPartager :Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)WordPress:J’aime chargement… Articles similaires 6 commentaires sur “Chant XVIII” Ajouter un commentaire On cherche des mains sans que le pied entre en scène… Alain J’aimeAimé par 1 personne Réponse So sad! Beautifully written. Well shared ❤🎉🙂thank you. J’aimeAimé par 1 personne Réponse Merci d’y être, Gabrielle. Et à Corinne aussi. J’aimeAimé par 1 personne Réponse Merci beaucoup pour ce mot, Caroline. Belle journée, que je vous souhaite aussi ensoleillée qu’elle ne l’est de ce bord-ci. J’aimeJ’aime Réponse Je pars marcher sous un ciel argenté. Et dans un air qui se refroidit un peu plus chaque jour. L’automne change de ton. On se prépare lentement à l’hiver. Belle soirée à vous, Gabrielle. Et merci encore. J’aimeAimé par 1 personne Et votre hiver est long… Moi je crois que là-bas, j’hibernerais. Pyjama, robe de chambre, café, bouquin musique. J’aimeAimé par 1 personne Votre commentaire Annuler la réponse. Entrez votre commentaire... Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter: E-mail (obligatoire) (adresse strictement confidentielle) Nom (obligatoire) Site web Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. ( Déconnexion / Changer ) Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. ( Déconnexion / Changer ) Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. ( Déconnexion / Changer ) Annuler Connexion à %s Avertissez-moi par e-mail des nouveaux commentaires. Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles. Δ
Merci beaucoup pour ce mot, Caroline. Belle journée, que je vous souhaite aussi ensoleillée qu’elle ne l’est de ce bord-ci. J’aimeJ’aime Réponse
Je pars marcher sous un ciel argenté. Et dans un air qui se refroidit un peu plus chaque jour. L’automne change de ton. On se prépare lentement à l’hiver. Belle soirée à vous, Gabrielle. Et merci encore. J’aimeAimé par 1 personne
Et votre hiver est long… Moi je crois que là-bas, j’hibernerais. Pyjama, robe de chambre, café, bouquin musique. J’aimeAimé par 1 personne
On cherche des mains
sans que le pied entre en scène…
Alain
J’aimeAimé par 1 personne
So sad! Beautifully written. Well shared ❤🎉🙂thank you.
J’aimeAimé par 1 personne
Merci d’y être, Gabrielle.
Et à Corinne aussi.
J’aimeAimé par 1 personne
Merci beaucoup pour ce mot, Caroline.
Belle journée, que je vous souhaite aussi ensoleillée qu’elle ne l’est de ce bord-ci.
J’aimeJ’aime
Je pars marcher sous un ciel argenté. Et dans un air qui se refroidit un peu plus chaque jour. L’automne change de ton. On se prépare lentement à l’hiver.
Belle soirée à vous, Gabrielle. Et merci encore.
J’aimeAimé par 1 personne
Et votre hiver est long… Moi je crois que là-bas, j’hibernerais. Pyjama, robe de chambre, café, bouquin musique.
J’aimeAimé par 1 personne