Elle
pour Se Nommer en ce temps
Disait elle
comme Parlant d'une lointaine
dans matières réflectives
Voyait quelque chose comme
une personne
oxymore perfide
soufflé à Son Esprit
par apocrisiaire de l'Impérial Rien
Elle Se Souvient
du ciel diurne
de ce temps
annonçant séismes
fonte des glaces
refroidissement des âmes
accumulations excessives de biens sub-terrestres
ciel violacé comme fatigue
Elle
Dit
ainsi est la fatigue
toujours violacée
toujours comme jour
ecchy-mosée
jamais étincelante comme nuit
car la nuit héberge
Guerrières aux cottes d'or souple
faisant illusion solaire
Qui Frappent sans Se Lasser
sur tout ce qui bouge
derrière tout ce qui fait écran
Frappent dur
Éclairées par Leur Propre Jour
Étanchant Leur Soif avec Leur Propre Sang
Défaites de Leurs Victoires
à la relève de la garde
©Encre sur papier de Corinne Freygefond. Sans titre #9, 2021.
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Texte fort
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J’adore ces images où jouent à la fois l’obscurité et la lumière.
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Beau.
Et le texte
et l’encre.
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Très belle encre. Texte à l’avenant.
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