L'autre L'amante Prête à en découdre Avec les siècles de couture À l'aube quitte Un lit blanc et rubis Qu'elle appelle notre lit Bien qu' elle y dorme seule Ah mais les rêves dit-elle Ne comptent pas pour rien L'autre L'amante Tombe sur les genoux Se relève et retombe Se relève et retombe Se relève encore De loin elle le sait Cela semble une danse Cela semble une ivresse
Les rêves comptent même pour beaucoup…
C’est très beau, Gabrielle.
Amitiés.
J’aimeAimé par 1 personne
Où irions-nous chercher le poème sans eux ?
Je vous envoie toute mon amitiés, Francine.
J’aimeAimé par 1 personne