Là devant nos yeux
La force déversée
D'une pluie cinglante qui ne s'arrêtera plus
Qui refuse de mourir
Ou qui ne le peut pas
Qui ne le peut plus
Comme si le mouvement
Inlassablement répété
De ses éléments
Nés à distance infinie de nos esprits
S’évertuait à marteler le lieu de notre présent
Dont on se moque bien
Préférant depuis toujours et pour toujours
Regarder loin devant regarder loin derrière
Revenant dans le jour seulement
Pour y laisser notre dépouille
Oui c’est très clair et très vrai. D’où, selon moi la nécessité de créer pour juguler un tant soit peu nos démons. les observer et les donner a observer.
Belle journée Almanito.
Nulle pitié pour les tout petits hommes que nous sommes, meurtris et si seuls…
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Une grande compassion au contraire pour ce que nous sommes et ce que nous ne pouvons changer en nous.
Belle soirée a vous, Almanito.
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Je me suis mal exprimée: la nature de ce que nous sommes n’a aucune compassion..
Hum! Je ne sais pas si je suis bien claire là aussi …
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Oui c’est très clair et très vrai. D’où, selon moi la nécessité de créer pour juguler un tant soit peu nos démons. les observer et les donner a observer.
Belle journée Almanito.
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Oui, c’est vrai, nous sommes rarement à l’instant présent.
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Oui. Et paradoxalement, nous ne sommes que là !
Je vous souhaite un bon dimanche.
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