Le temps a déposé là Sur mon sein Une peine définitive Tel un cœur apparent Que je n'ose pas toucher Ni même regarder C'est assez qu'il batte Avec plus de vigueur Que ne le peut le centre De ma poésie pauvre De ma parole arythmique Mon véritable cœur
Simple.beau de l’épure.
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Ce qui sort de soi est peu et souvent ça suffit. Merci Barbara.
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J’aime beaucoup, bravo !
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Que j’aime votre poésie! Subtile, fluide, tout en touches délicates mais d’une grande profondeur! Merci tant.
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Parfois dire c’est écouter et voler ce que l’on entend ! Merci de votre présence ici.
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Je ne sais pas ce que vous dites mais cela me touche.
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poignant!
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Je ne trouve pas votre poésie pauvre, bien au contraire…
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Pourtant, cette impression que souvent l’âme est pauvre.
Je vous embrasse, Francine, et j’espère que vous profitez pleinement du printemps.
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Que nenni ma Mie, votre sein est vierge de peine et sa blancheur émeut et appelle les lèvres, votre cœur est généreux et transpire dans votre poésie débordante de douceur et de bonté.
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Sincèrement magnifique
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Une pointe de tristesse appui son tranchant sur la chair. C’est très beau, simple et puissant.
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Doublement merci.
Car votre venue ici m’a fait découvrir votre belle voix poétique.
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