Il y a ce cri
Qui n’est pas un son
Une vibration qui tord mon âme
Nuit et jour
Une pulsation captive
De mon corps devenu
De sa chair sans ajour de ses os métalliques
Expression d’une existence mal tournée
Surgissant de mon corps véritable
Cependant qu’il frappe gratte creuse
Suffoque sous la fumée âpre des heures consumées
Bâties dès leur naissance selon des plans de ruines
Je lis, mais plus encore.
Ce bras, qui semble étranger au corps
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C’est étrange… En visionnant cette photo, je me suis fait la même réflexion. Et bien sûr, j’ai cherché un sens à tout ça ! Et bien sûr, je n’en ai trouvé aucun.
Je vous envoie toute mon amitié.
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Une demeure ainsi habitée au matin? au midi, au Soir? de la vie…
Visions de Guerre, c’est réussi,
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Merci…
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quel désarroi! merci pour ce poème
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On ne peut nier que le désarroi existe.
Merci d’être passé par ici. Ca me permet de découvrir votre propre travail.
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Gabrielle,
j’aimerais vous joindre mais je ne parviens pas à trouver votre contact…
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