
…
Une ligne qui séparerait
Justement le ciel de la terre
À grande distance de moi
Pour que là où je me trouve
Les deux se mélangent
Ainsi je volerais ou nagerais
Et oublierais la marche
Oh oui c’est une obsession
De ne plus fouler le sol
De ne plus avoir pied
La marche est harassante
Et dangereuse
En tout cas celle-ci
Au long de laquelle
Serpentent en brume
Les haleines froides
De créatures effarouchées
Ce poème me fait penser à un voyage en ferry . Une ligne bleue (vous c’est une route rouge) délimitant le ciel immobile et la mer.
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Oui, c’est une belle image, bienvenue, car j’aime les ferries.
Merci de votre passage ici et belle soirée a vous.
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Dans cette belle poésie, j’imagine aisément cette route rouge! Ah si j’étais un oiseau, je penserais sans doute comme lui ツ
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Je veux bien suivre cette route ailée …
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Oh oui ! Moi aussi. De plus en plus souvent, tant le monde semble devenu fou !
Belle soirée a vous.
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C’est votre « longue marche »!?
Mais nageons, volons pour que triomphe aussi la Liberté sur la route rouge !
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Je vous suis dans ce voyage !
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Ma che bella ❣❣❣
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Voler nous offrirait cette liberté, oui…
Marcher semble par moments bien compliqué dans ce monde.
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