Morte je serai vue
Avec les yeux du temps
Qui inlassablement place
Le passé devant
Aussi ce jour arrivera
Qui me verra m’enfuir
Les bras chargés
De trésors enfantins
"Je ne fais pas partie du mouvement de la rue, puisque je le contemple." Virginia Woolf
Morte je serai vue
Avec les yeux du temps
Qui inlassablement place
Le passé devant
Aussi ce jour arrivera
Qui me verra m’enfuir
Les bras chargés
De trésors enfantins
Superbe!
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Un grand merci à vous, Francine.
Pour ma part, je me promène toujours sur votre site comme dans une grande plaine poétique et fabuleuse, qui nourrit mon regard et ma pensée.
Mes amitiés
Gabrielle
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que dire devant tant de silence et de beauté simple…ces pensées ne me sont pas étrangères…vous les dites si bien
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J’ai remarqué souvent que le poème venait lorsque je cessais de penser. Dans le sens où je cesse de forcer ma pensée. C’est à ce moment-là que l’être parle. Et ce qu’il dit parle à d’autres que lui.
Merci pour vos mots. Ces échanges sont bienvenus alors que la question « Pourquoi continuer d’écrire ? » flotte constamment au-dessus de ma tête.
Très belle soirée à vous.
Gabrielle
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merci. J’ai l’impression étrange de m’être écrit moi-même votre message.
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Comme je comprends ça !!
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Bonsoir, c’est un très beau poème. Bisous et bonne soirée MTH
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Merci beaucoup Marie.
Mes amitiés
Garielle
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Que ces mots sont touchants, émotion… MERCI
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Merci à vous de vous promener par ici.
Gabrielle
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L’éternité que j’ai d’autres
à part
fait dedans ce liant pour la mienne
qu’on perce sonne…
N-L
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